ARCHIVÉE - Le gouvernement Harper passe à l’action pour venir en aide aux victimes de crimes

Contenu archivé

L'information dont il est indiqué qu'elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n'est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n'a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.

Vancouver – le 21 mars 2012 — Aujourd’hui, l’honorable Vic Toews, ministre de la Sécurité publique, a rencontré les défenseurs des droits des victimes pour souligner la détermination du gouvernement de venir en aide aux victimes d’actes criminels. 

« Notre gouvernement a prêté une oreille attentive aux victimes et a, par conséquent, adopté une loi visant à répondre à leurs préoccupations, a déclaré le ministre Toews. Non seulement la Loi sur la sécurité des rues et des communautés oblige les délinquants à répondre de leurs actes, mais  encore elle permet aux victimes de participer aux audiences de libération conditionnelle, et aux victimes de terrorisme de poursuivre en justice les auteurs d’actes de terrorisme et ceux qui les soutiennent.

En adoptant cette loi, notre gouvernement prend les mesures nécessaires pour s’assurer que les victimes peuvent se faire entendre ainsi que pour prévenir la victimisation, a continué le ministre Toews. Notre gouvernement est déterminé à faire cesser le phénomène des portes tournantes dans le système judiciaire canadien. Nous n’avons bâti aucune nouvelle prison et ne planifions pas bâtir de nouvelles prisons non plus. Cette loi vise à protéger les Canadiens, car elle fait en sorte que les délinquants les plus violents et les plus criminels demeurent derrière les barreaux, et ce, pour une plus longue période. »

La Loi sur la sécurité des rues et des communautés prévoit de nombreuses mesures visant à répondre aux préoccupations soulevées par les victimes :

En outre, le gouvernement a créé, en 2007, le Bureau fédéral de l’ombudsman des victimes d’actes criminels (BOFVAC) dont le mandat est de veiller au respect des engagements du gouvernement fédéral à l’égard des victimes d’actes criminels. Sécurité publique Canada appuie directement les victimes d’actes criminels par l’entremise du Bureau national pour les victimes d’actes criminels. Le Bureau sert de point de service unique où les victimes peuvent obtenir des renseignements et un soutien pour les questions relatives au système correctionnel; le Bureau représente également les victimes dans le cadre de l’élaboration des politiques et établit les produits d’information à l’intention des victimes, des organismes d’aide aux victimes et du public.

Le BOFVAC a récemment publié un rapport important et utile intitulé Réorienter la conversation — comment recentrer le système de justice du Canada pour mieux répondre aux besoins des victimes d'actes criminels. Le gouvernement analyse présentement ce rapport et les recommandations qu’il comporte en vue de s’assurer que les besoins des victimes d’actes criminels soient examinés attentivement et pris en compte dans le système judiciaire.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur le Bureau national pour les victimes d’actes criminels, visitez le site Web : http://www.securitepublique.gc.ca//cnt/cntrng-crm/crrctns/ntnl-ffc-vctms-fra.aspx. Si vous êtes une victime, composez le numéro sans frais : 1-866-525-0554, pour vous informer des différents services offerts par le Bureau.

Pour de plus amples renseignements sur la Loi sur la sécurité des rues et des communautés, visitez le site Web : securitepublique.gc.ca

Suivez Sécurité publique Canada sur Twitter, à l’adresse : @Securite_Canada.

Renseignements :
Relations avec les médias
Sécurité publique Canada
613-991-0657

Date de modification :