Arrestation en C.-B. – Formation en santé mentale à la GRC
Date : 23 juin 2020
Classification : Non classifié
Entièrement publiable (AIPRP)? Oui/Non
Secteur / agence : GRC
Sujet :
Selon CTV News, une étudiante en soins infirmiers de la Colombie-Britannique affirme avoir été agressée, en début d’année, par une agente de la GRC venue s’assurer de son bien-être.
Réponse suggérée :
- Nous croyons savoir qu’une série de vidéos liées à l’affaire civile en cours a récemment été fournie à toutes les parties, conformément à une ordonnance du tribunal. La GRC respecte le processus judiciaire et déposera sa réponse officielle conformément à la procédure civile.
- Nous nous engageons à examiner le contenu des vidéos et les allégations relatives au comportement de l’agente afin de déterminer les autres mesures à prendre.
- La sécurité des personnes et des agents est toujours la priorité absolue. Nous devons également traiter les personnes avec dignité et respect.
Contexte :
Selon CTV News, une étudiante en soins infirmiers de la Colombie-Britannique affirme avoir été agressée, en début d’année, par une agente de la GRC venue s’assurer de son bien-être.
Les policiers sont souvent les premiers à intervenir auprès des personnes qui vivent une crise ou un problème de santé mentale. Nous avons un rôle important à jouer lorsque nous intervenons auprès de ces personnes et interagissons avec elles.
Les policiers ne sont pas des professionnels de la santé et ne peuvent pas diagnostiquer les troubles dont une personne pourrait souffrir. Cependant, il est important qu’ils comprennent les maladies mentales et en reconnaissent les signes et les symptômes afin de pouvoir évaluer efficacement les risques et désamorcer une crise, si cela est possible du point de vue tactique.
Pour être en mesure de répondre aux besoins en santé mentale des personnes et des communautés, les premiers intervenants doivent avoir les connaissances voulues et savoir faire preuve d’empathie et de patience. Il est possible de désamorcer une situation de crise de santé mentale par des interventions appropriées et des techniques de désescalade, et ce, avec un risque réduit pour le public et les policiers.
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