Biographie des membre du comité (SAPC)

GEOFF REGAN

L'HONORABLE GEOFF REGAN, PRÉSIDENT (PLC – HALIFAX-OUEST, NOUVELLE-ÉCOSSE)

Principaux intérêts

  • Ressources naturelles
  • Investissements chinois

Rôles parlementaires

M. Regan a été élu 36e président de la Chambre des communes pour la période 2015-2019. Il a été membre de l'Association législative Canada-Chine (CACN) d'octobre 2011 à mars 2015. Après l'élection de 2004, M. Regan a été nommé pour agir en tant que ministre de la Justice et procureur général du Canada pour les questions relatives à Maher Arar. M. Regan a été le porte-parole libéral pour les ressources naturelles sous la direction de Michael Ignatieff et de Justin Trudeau. En 2003, il a été nommé ministre des Pêches et des Océans. Pendant cette période, il a également été ministre régional pour la Nouvelle-Écosse. M. Regan a été nommé secrétaire parlementaire du leader du gouvernement à la Chambre des communes de 2001 à 2003.

Participation notable aux comités :

  • Président du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), de janvier 2020 jusqu'à aujourd'hui
  • Membre du Sous-comité sur la sécurité nationale du Comité permanent de la justice et des        droits de la personne (SNAS), de novembre 2002 à septembre 2003
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale et des anciens combattants, de février à septembre 2001

Contexte

M. Regan est titulaire d'un baccalauréat en sciences politiques de l'Université Saint-Francis-Xavier et d'un diplôme de droit de l'Université Dalhousie. Il a été admis au barreau de la Nouvelle-Écosse en 1984. Il a été élu pour la première fois à la Chambre des communes en 1993 et a servi jusqu'à sa défaite lors des élections de 1997. M. Regan a été réélu lors des élections fédérales de 2000, 2004, 2008, 2011, 2015 et 2019.

Déclarations sur la Chine

Le député Regan n'a fait aucune déclaration sur la Chine lors des deux sessions de la 43e législature.

GARNETT GENUIS

GARNETT GENUIS, VICE-PRÉSIDENT (PCC – SHERWOOD PARK–FORT SASKATCHEWAN, ALBERTA)

PORTE-PAROLE POUR LE DÉVELOPPEMENT INTERNATIONAL ET LES DROITS DE LA PERSONNE

Principaux intérêts

  • Droits de la personne
  • Relations Canada-Chine
  • Liberté d'expression
  • Démocratie et primauté du droit
  • Liberté de religion
  • Critique incontestable du Parti communiste chinois (PCC)

Rôles parlementaires

Garnett Genuis est actuellement le porte-parole conservateur pour le développement international et les droits de la personne. Il était auparavant le porte-parole conservateur pour les relations Canada-Chine et le multiculturalisme. Le député Genuis a présenté un projet de loi d'initiative parlementaire et de nombreuses pétitions au cours des deux dernières législatures pour attirer l'attention sur la lutte contre le trafic d'organes humains.

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

  • Vice-président du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN) depuis octobre         2020
  • Membre du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (FAAE) depuis octobre 2020, ainsi que pour la période 2017-2018
  • Membre du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), de février 2020 à août      2020; depuis octobre 2020
  • Membre du Sous-comité des droits internationaux de la personne (SDIR) du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international, de février à août 2020
  • Membre du Comité mixte permanent d'examen de la réglementation (REGS), de janvier 2016 à septembre 2017

Contexte

Le député Genuis a été élu à la Chambre des communes en 2015 et 2019. Avant son élection, il a travaillé au Cabinet du premier ministre sous la direction de Stephen Harper.

Le député Genuis a grandi dans le comté de Strathcona, en Alberta. À l'âge de 15 ans, il a commencé à écrire une chronique pour le Sherwood Park News, un journal auquel il continue de contribuer en tant que député. Le député Genuis est titulaire d'un baccalauréat en affaires publiques et gestion des politiques de l'Université de Carleton et d'une maîtrise en sciences spécialisée en philosophie et en politique publique de la London School of Economics (LSE).

Déclarations sur la Chine

Le député Genuis est l'un des députés les plus actifs et les plus loquaces sur les questions relatives à la Chine et il a été très critique à l'égard de la stratégie du gouvernement concernant la Chine. Il s'est notamment interrogé sur l'adéquation du rôle de l'ambassadeur Dominic Barton en tant que représentant du Canada en Chine, soulignant les louanges de l'ambassadeur pour la réponse de la Chine à la crise de la COVID-19 et son manque apparent de connaissance de la situation consulaire de M. Huseyincan Celil.

Au cours de la 43e législature, le député Genuis a soulevé à plusieurs reprises des préoccupations concernant la population musulmane ouïghoure en Chine, et a présenté des pétitions, demandé des débats d'ajournement et posé des questions pendant la période des questions. Il a également joué un rôle clé dans les travaux du Sous-comité des droits internationaux de la personne (SDIR) sur une étude intitulée « Situation des droits de la personne du peuple ouïghour ». Lors des réunions organisées dans le cadre de cette étude, le député Genuis a axé ses questions sur l'utilisation de sanctions ciblées contre les fonctionnaires chinois, le contrôle de la population, la destruction de la culture ouïghoure et les chaînes d'approvisionnement. En dehors du Parlement, le député Genuis est actif sur les médias sociaux, envoyant des gazouillis presque quotidiennement sur cette question et sur ce qu'il perçoit comme un manque d'action de la part du gouvernement. Le député Genuis suit de près le cas consulaire de M. Celil et a rencontré l'épouse de M. Celil, Kamila, à plusieurs reprises.

En plus de son travail de défense des droits des Ouïghours en Chine, le député Genius s'occupe de la question de la situation à Hong Kong. Avant l'étude du Comité sur Hong Kong, il a régulièrement soulevé le sujet et a fortement plaidé pour que le Comité étudie la question de Hong Kong. Le député Genuis a souligné à plusieurs reprises sa préoccupation concernant l'imposition de la loi sur la sécurité nationale (LSN) à Hong Kong, la fin de la démocratie et de la liberté de la presse dans la ville, et la fin du modèle d' « un pays, deux systèmes ». Il a fait part de ses inquiétudes quant à la sécurité des 300 000 Canadiens vivant à Hong Kong et des militants pro-démocratie de Hong Kong. Il est en faveur de sanctions ciblées contre le Parti communiste chinois et les représentants de Hong Kong responsables de la mise en oeuvre de la LSN. Il soutient également les options d'immigration pour protéger les Canadiens et les militants prodémocratie et les aider à trouver refuge au Canada.

Le député Genuis a été mentionné et cité dans un article du Globe & Mail publié le 21 juillet 2020 : « Le député conservateur Garnett Genuis, membre du [SDIR], a déclaré que le gouvernement libéral n'avait absolument pas utilisé les sanctions Magnitski contre les responsables chinois, ce qui est décevant. »

Le député Genuis s'est également exprimé sur l'influence du Parti communiste chinois au Canada. Au cours de la première session de la 43e législature, il a présenté une motion demandant que le CACN étudie l'influence que le Parti communiste chinois exerce dans les universités canadiennes.

STÉPHANE BERGERON

STÉPHANE BERGERON, VICE-PRÉSIDENT (BQ – MONTARVILLE, QUÉBEC)

PORTE-PAROLE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

Principaux intérêts

  • Les relations Canada-Chine dans leur ensemble

Rôles parlementaires

M. Bergeron est actuellement le porte-parole du Bloc Québécois (BQ) pour les affaires étrangères. Il est membre de nombreuses associations parlementaires et groupes interparlementaires, notamment l'Association législative Canada-Chine (CACN) et l'Association parlementaire canadienne de l'OTAN (CANA). Il a également été le whip du BQ de 1997 à 2001.

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

  • Vice-président du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), depuis janvier          2020
  • Membre du Sous-comité du commerce international, des différends commerciaux et des                 investissements internationaux du Comité permanent des affaires étrangères et du commerce                 international (SINT), de mars à mai 2004
  • Vice-président du Sous-comité du commerce international, des différends commerciaux et des                 investissements internationaux du Comité permanent des affaires étrangères et du commerce                 international (SINT), novembre 2002-2003
  • Membre du Comité permanent des affaires étrangères et du commerce international (FAIT),     de février à mai 2004; d'octobre 2002 à septembre 2003

Contexte

M. Bergeron a été député du BQ à la Chambre des communes de 1993 à 2005 et à l'Assemblée nationale du Québec de 2005 à 2018. En 2019, il est revenu à la Chambre des communes en tant que membre du BQ.

M. Bergeron est titulaire d'un baccalauréat et d'une maîtrise en science politique. Après avoir quitté la Chambre des communes et siégé à l'Assemblée nationale du Québec pendant 13 ans, M. Bergeron a été registraire du cégep de Rimouski. Auparavant, il a été conseiller politique et assistant d'enseignement à l'Université Laval au sein du département de Science politique. De 1984 à 1993, il a servi dans les Forces armées canadiennes en tant qu'officier du Cadre des instructeurs de cadets de la marine.

Déclarations sur la Chine

Le député Bergeron soutient le CACN et son mandat depuis sa création en 2019, ayant déclaré : « On pourra épiloguer longuement sur les raisons pour lesquelles les relations se sont détériorées, mais, chose certaine, on peut constater que les relations entre la Chine et le Canada se sont détériorées. Il y a un problème. Une fois qu'on prend conscience du problème, que fait-on? On peut faire comme l'a fait le gouvernement libéral pendant un certain temps, c'est-à-dire fermer les yeux et laisser vacant pendant huit mois le poste d'ambassadeur du Canada à Pékin. Je dis bien pendant huit mois. Ce n'est pas une façon de trouver des solutions. Dans une situation où le gouvernement est minoritaire, on doit faire appel à l'ensemble de la bonne volonté de la Chambre. »

Lors des réunions du CACN au sujet de Hong Kong, le député Bergeron s'est particulièrement intéressé aux sanctions ciblées prises contre le Parti communiste chinois et des dirigeants de Hong Kong comme option de politique. Il a également interrogé de nombreux témoins sur la Déclaration conjointe sino-britannique et sa validité en droit international, et sur la question de savoir si le Parti communiste chinois empêcherait les Hongkongais de quitter Hong Kong. De plus, lors de la réunion du CACN du 17 août, le député Bergeron s'est interrogé sur l'impact que peut avoir la relation entre la Chine et l'administration américaine actuelle sur la relation qu'entretient le Canada avec la Chine, en demandant à un témoin : « Dans les circonstances, est-il possible de créer une telle coalition avec les États-Unis? »

JACK HARRIS

JACK HARRIS, VICE-PRÉSIDENT (NPD – ST. JOHN'S-EST, TERRE-NEUVE-ET-LABRADOR)

PORTE-PAROLE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

Principaux intérêts

  • Droits de la personne dans leur ensemble
  • Affaires consulaires en Chine
  • Action coordonnée entre le Canada et les pays d'optique commune

Rôles parlementaires

Le député Harris est actuellement le porte-parole du NPD pour les affaires étrangères, la sécurité publique et l'Agence de promotion économique du Canada atlantique. Il est également le porte-parole adjoint pour la défense. Parmi les membres du CACN, seul M. Harris a été membre du Comité spécial sur la mission canadienne en Afghanistan (AFGH) de 2010 à 2011, une expérience qui est particulièrement pertinente pour ce comité spécial dans un contexte de parlement minoritaire.

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

  • Vice-président du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), depuis janvier          2020
  • Membre du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international        (FAAE), depuis février 2020
  • Vice-président, Défense nationale (NDDN), de 2011 à 2015
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (NDDN), de 2009 à 2015
  • Membre du Comité spécial sur la mission canadienne en Afghanistan (AFGH), de mars 2010 à    mars 2011
  • Vice-président du Comité permanent de la justice et des droits de la personne (JUST), de 2011 à 2012
  • Vice-président du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (SECU), 2009

Contexte

Jack Harris est un avocat et politicien de Terre-Neuve-et-Labrador. Il a représenté St John's Est à plusieurs reprises : de 1987 à 1988, de 2008 à 2015, et a remporté son siège à nouveau en 2019. Il a été le chef du Nouveau Parti démocratique de Terre-Neuve-et-Labrador de 1992 à 2006.

Déclarations sur la Chine

Le député Harris, tout comme le député Bergeron, a soutenu le CACN et son mandat depuis sa création en 2019.

Le député Harris s'est dit préoccupé par le fait que le Canada n'a pas fait assez pour protéger le statut de Hong Kong, comme il l'avait promis en 1997 lors de la signature de la Déclaration conjointe. Il a

demandé à des témoins de faire des recommandations sur les mesures que le Canada pourrait prendre pour assurer l'immigration, en toute sécurité, des Hongkongais au Canada.

Le député Harris a demandé à de nombreux témoins lors des réunions du CACN s'ils estiment que le Canada doit se doter d'une législation en réponse à l'ingérence étrangère du Parti communiste du Canada.

Le député Harris a été mentionné dans un article du Globe & Mail publié le 21 juillet 2020 : « Le porte-parole du NPD en matière d'affaires étrangères, Jack Harris, a déclaré que si les sanctions Magnitski représentent un outil important, il est vital que le gouvernement travaille de concert avec d'autres pays pour faire face à la situation en Chine. »

Le 19 juillet 2020, le député Harris a publié sur son site Web une déclaration appelant le gouvernement à avertir et protéger les voyageurs canadiens en rapport avec la loi sur la sécurité nationale. Il a souligné que ces lois s'étendent aux ressortissants étrangers et couvrent les activités se déroulant en dehors de la Chine. En vertu de ces nouvelles lois, les Canadiens qui ont participé à toute activité ou position publique que le gouvernement chinois considère comme subversive pourraient être arbitrairement détenus et remis aux autorités chinoises s'ils font escale dans des pays qui ont un accord d'extradition avec Hong Kong.

EMMANUEL DUBOURG

EMMANUEL DUBOURG (PARTI LIBÉRAL DU CANADA – BOURASSA, QUÉBEC)

Principaux intérêts

  • Relations Canada-Chine, dans leur ensemble

Rôles parlementaires

Au cours de la 42e législature, M. Dubourg a occupé le poste de secrétaire parlementaire de la ministre du Revenu national. Il a été membre de l'Association parlementaire canadienne de l'OTAN (CANA) de septembre 2018 à mars 2019.

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

  • Membre du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), depuis janvier 2020
  • Membre du Comité permanent de l'accès à l'information, de la protection des renseignements                 personnels et de l'éthique (ETHI), janvier 2017-2018

Contexte

Le député Dubourg est né à Saint-Marc, en Haïti, et a émigré au Canada en 1974. Il a obtenu un baccalauréat en comptabilité et une maîtrise en administration des affaires. Il est membre de l'Ordre des comptables agréés du Québec depuis 1987. Le député Dubourg a enseigné à l'Université du Québec à Montréal et à l'Université du Québec en Outaouais,. Il a également travaillé comme gestionnaire et conseiller à l'Agence du revenu du Canada.

Le député Dubourg a reçu plusieurs prix et citations pour son travail au fil des ans, notamment la médaille du Gouverneur général, le prix de l'innovation et de l'excellence de l'Agence du revenu du Canada en 1992 et le prix du mois de l'histoire des Afro-Américains en 2006 pour son travail au sein de la communauté noire.

Le député Dubourg a été précédemment député à l'Assemblée nationale du Québec de 2007 à 2013. En 2013, il a été élu à la Chambre des communes en tant que député lors d'une élection partielle.

Déclarations sur la Chine

Le député Dubourg ne semble pas avoir d'intérêts particuliers concernant les relations entre le Canada et la Chine, et demande généralement aux témoins de lui faire part de leurs suggestions sur la manière dont le Canada peut réparer ses relations avec la Chine.

En dehors des réunions du CACN, le député Dubourg ne fait pas mention de la Chine.

PETER FRAGISKATOS

PETER FRAGISKATOS (PARTI LIBÉRAL DU CANADA – LONDON-CENTRE-NORD, ONTARIO)

Principaux intérêts

  • Relations Canada-Chine, dans leur ensemble
  • Entreprises canadiennes en Chine
  • Primauté du droit

Rôles parlementaires

M. Fragiskatos est membre de l'Association législative Canada-Chine (CACN) et de l'Association parlementaire canadienne de l'OTAN (CANA).

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

  • Membre du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), depuis janvier 2020
  • Membre du Comité permanent des finances (FINA), septembre 2018-2019
  • Membre du Sous-comité des droits internationaux de la personne (SDIR) du Comité       permanent des affaires étrangères et du développement international, de janvier 2017 à             septembre 2019; de février 2016 à septembre 2017
  • Membre du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (SECU), septembre 2017-2018
  • Membre du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (FAEE), de janvier 2016 à septembre 2017

Contexte

Le député Fragiskatos est titulaire d'une licence en sciences politiques de l'University Western Ontario, d'une maîtrise en relations internationales de l'Université Queen's et d'un doctorat en relations internationales de l'Université de Cambridge.

Avant d'être élu à la Chambre des communes en 2015, le député Fragiskatos était politologue au Collège universitaire King's à l'Université Western Ontario. Il a également travaillé comme commentateur des médias. Ses travaux ont été publiés par de grands organismes de presse canadiens et internationaux, notamment le magazine Maclean's, le Globe and Mail, le Toronto Star, BBC News et CNN. Le député Fragiskatos a siégé au conseil d'administration d'Anago Resources et de la Heritage London Foundation.

Déclarations sur la Chine

Lors de la prorogation du Parlement entre le 18 août et le 23 septembre 2020, le député Fragiskatos a exprimé son intérêt en faveur du retour du CACN lors de la deuxième session de la 43e législature, malgré son scepticisme initial lors de sa création à la fin de 2019.

Lors des réunions du CACN, le député Fragiskatos interroge généralement les témoins sur les entreprises canadiennes en Chine et sur la manière dont elles sont touchées par les tensions bilatérales actuelles entre le Canada et la Chine.

En dehors des réunions du CACN, le député Fragiskatos ne fait pas beaucoup mention de la Chine.

ROBERT OLIPHANT

ROBERT OLIPHANT (PARTI LIBÉRAL DU CANADA – DON VALLEY-OUEST, ONTARIO)

SECRÉTAIRE PARLEMENTAIRE DU MINISTRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

Principaux intérêts

  • Cas consulaires
  • Ordre international fondé sur des règles

Rôles parlementaires

Le député Oliphant a été nommé secrétaire parlementaire du ministre des Affaires étrangères en mai 2019 et a conservé ce rôle au sein de la 43e législature.

Participant activement aux associations parlementaires, M. Oliphant est notamment membre de l'Association législative Canada-Chine (CACN) depuis décembre 2015. Il joue également un rôle actif dans l'Association parlementaire Canada-Afrique (CAAF).

M. Oliphant s'est rendu en Chine avec l'Association législative Canada-Chine (CACN) en mai 2019 en tant que chef de délégation. Compte tenu de sa position de secrétaire parlementaire, cette visite a marqué la première interaction de haut niveau depuis le début des irritants bilatéraux entre le Canada et la Chine en décembre 2018.

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

    • Membre du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), depuis janvier 2020
    • Membre du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (FAAE), depuis février 2020
  • Président du Comité permanent de la citoyenneté et de l'immigration (CIMM), 2017-2019
  • Membre du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (SECU), 2016-2017; 2009

Contexte

Le député Oliphant a été élu pour la première fois à la Chambre des communes en octobre 2008. Il a été battu aux élections fédérales de 2011, mais a été réélu en 2015 et 2019.

Le député Oliphant a obtenu un baccalauréat en commerce à l'Université de Toronto en 1978. Pendant son séjour à l'Université de Toronto, il a joué un rôle actif au sein du club libéral de l'Université de Toronto, ainsi que de l'organisation Les Jeunes libéraux de l'Ontario. Après avoir obtenu une maîtrise en théologie de l'École de théologie de Vancouver, il a été ordonné ministre de l'Église Unie en 1984. Son titre officiel est celui de révérend professeur Robert Oliphant, député.

Le député Oliphant a travaillé dans le cabinet du premier ministre David Peterson en 1989. Il a ensuite travaillé pour deux ministres provinciaux, Christine Hart, ministre de la Culture et des Communications,

et Mavis Wilson, ministre responsable des questions relatives aux femmes.

Déclarations sur la Chine

En tant que secrétaire parlementaire du ministre des Affaires étrangères, le député Oliphant joue généralement un rôle de leader parmi les membres du PLC au sein du CACN.

En général, les déclarations du député Oliphant à la Chambre des communes concernant la Chine se sont concentrées sur la défense des positions du gouvernement. Le député Oliphant soulève la question des services consulaires canadiens à l'étranger dans un certain nombre de contextes, y compris les comités, les médias sociaux et les débats de la Chambre. Il a déclaré à plusieurs reprises que le retour de Michael Kovrig et de Michael Spavor est la priorité absolue du gouvernement.

Le député Oliphant défend fréquemment la politique étrangère du Canada, affirmant que « […] notre politique étrangère est basée sur le renouvellement d'un ordre international réglementé que les Canadiens ont construit ensemble, la protection des droits universels de la personne et le soutien aux démocraties. », et soulignant : « Dans un certain nombre de dossiers critiques, nous montrons la voie, que ce soit au Venezuela, au Moyen-Orient, en Chine ou ailleurs dans le monde. Nous continuerons à soutenir nos alliés et nos partenaires de l'OTAN tout en faisant en sorte que la prépondérance du Canada demeure et soit reconnue dans notre monde, auprès de nos alliés et des pays aux vues similaires aux nôtres qui travaillent avec nous. »

JEAN YIP

JEAN YIP (PARTI LIBÉRAL DU CANADA-SCARBOROUGH-AGINCOURT, ONTARIO)

Principaux intérêts

  • Relations Canada-Chine, dans leur ensemble
  • Cas consulaires

Rôles parlementaires

La députée Yip est coprésidente du Caucus des aînés libéraux et membre des caucus du Parti libéral sur l'accessibilité au logement, l'immigration et la santé mentale, ainsi que des caucus des femmes et de Scarborough. La députée Yip est membre de l'Association législative Canada-Chine (CACN) et de la Section canadienne de l'Association parlementaire du Commonwealth (CCOM).

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

  • Membre du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), depuis janvier 2020
  • Membre du Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions       budgétaires (OGGO), septembre 2018-2019
  • Membre du Comité permanent des comptes publics (PACP), de janvier 2018 à septembre 2019

Contexte

La députée Yip a été élue à la Chambre des communes lors d'une élection partielle en 2017. Son prédécesseur était son ancien mari Arnold Chan, décédé en 2017.

Elle est née à Scarborough et a grandi à Agincourt, la circonscription qu'elle représente aujourd'hui. Sa mère est originaire de Shanghai et son père est originaire de Canton, mais a passé du temps à Hong Kong en tant qu'employé de police. Tous deux ont ensuite immigré séparément au Canada. Après avoir obtenu son diplôme à l'Université de Toronto, la députée Yip a poursuivi une carrière dans les assurances et la souscription et a obtenu le titre de professionnelle de l'assurance agréée.

Déclarations sur la Chine

La députée Yip a souligné les aspects culturels de la Chine, s'étant levée à la Chambre des communes en mai 2018 pour souligner l'importance du Mois du patrimoine asiatique. Elle joue un rôle actif sur Twitter et envoie fréquemment des gazouillis à propos de différents événements culturels, tout en mettant en avant les restaurants locaux asiatiques et d'inspiration asiatique de sa circonscription.

Lors des réunions du CACN, la députée Yip pose aux témoins des questions contextuelles sur la situation en Chine et pour faire le point sur la relation Canada-Chine.

En dehors des réunions du CACN, la députée Yip ne fait pas beaucoup mention de la Chine.

LENORE ZANN

LENORE ZANN (PARTI LIBÉRAL DU CANADA – CUMBERLAND-COLCHESTER, NOUVELLE-ÉCOSSE)

Principaux intérêts

  • Questions environnementales, dans leur ensemble
  • Homard de Nouvelle-Écosse

Rôles parlementaires

Aucun

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

  • Membre du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), depuis janvier 2020

Contexte

La députée Zann est une actrice politicienne australo-canadienne. Elle a été élue députée en 2019. Avant d'entrer en politique fédérale, elle a représenté la circonscription électorale de Truro-Bible Hill à la Chambre d'assemblée de la Nouvelle-Écosse de 2009 à 2019 en tant que membre du Nouveau Parti démocratique (NPD) de la Nouvelle-Écosse et du 9 juin au 12 septembre 2019 en tant qu'indépendante.

La députée Zann était initialement membre du Nouveau Parti démocratique (NPD) de Nouvelle-Écosse. Au cours de son premier mandat, elle a été nommée adjointe ministérielle pour la culture et le patrimoine, l'environnement et le changement climatique, et vice-première ministre. Plus tard, en tant que membre de l'opposition, la députée Zann a été la porte-parole du NPD pour l'éducation, l'environnement, le statut des femmes, la Commission canadienne des droits de la personne, les affaires autochtones et la Commission de vérité et réconciliation du Canada, l'agriculture, l'enseignement supérieur, les affaires africaines de la Nouvelle-Écosse et les affaires gaéliques.

Déclarations sur la Chine

Lors des réunions du CACN, la députée Zann concentre ses questions sur les relations culturelles et interpersonnelles entre le Canada et la Chine. Ce faisant, elle tente de souligner la différence entre le peuple chinois et le gouvernement chinois.

En outre, la députée Zann soulève la question du commerce du homard entre le Canada et la Chine lors des réunions du CACN en raison de l'emplacement de sa circonscription.

En dehors des réunions du CACN, la députée Zann ne fait pas beaucoup mention de la Chine.

MICHAEL CHONG

L'HONORABLE MICHAEL CHONG, P.C

(PCC – WELLINGTON–HALTON HILLS, ONTARIO)

PORTE-PAROLE POUR LES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

Principaux intérêts

  • Hong Kong
  • Démocratie
  • Questions environnementales, dans leur ensemble

Rôles parlementaires

Le député Chong est actuellement le porte-parole de l'opposition officielle pour les affaires étrangères. Il a été président du Conseil privé de la Reine pour le Canada, ministre des Affaires intergouvernementales et ministre des Sports de février à novembre 2006. M. Chong a été, entre autres, membre de l'Association parlementaire canadienne de l'OTAN (CANA), de l'Association législative Canada-Chine (CACN) et du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis (CEUS).

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

  • Vice-président et membre du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (FAAE), depuis octobre 2020
  • Membre du Comité permanent de l'industrie, des sciences et de la technologie (INDU), 2009-    2010, septembre 2018-2019
  •  Membre du Comité permanent des transports, de l'infrastructure et des collectivités (TRAN),   septembre 2017-2018
  • Membre du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (SECU), octobre 2013 à         janvier 2014

Contexte

Le député Chong a été élu pour la première fois au Parlement en 2004 et a présidé plusieurs comités permanents de la Chambre des communes. Il est co-fondateur et membre du All Party Climate Caucus (caucus multipartite sur le climat) depuis sa création en 2011. Au cours de la 42e législature, le député Chong a été le porte-parole de l'opposition officielle pour l'infrastructure ainsi que pour les sciences. En 2016, le député Chong a posé sa candidature pour la direction du PCC, mais sans succès.

Le père du député Chong est né à Hong Kong et a immigré au Canada en 1952. Sa mère a immigré au Canada en provenance des Pays-Bas en 1960. Le député Chong a étudié au Collège Trinity de l'Université de Toronto où il a obtenu un diplôme en philosophie.

Avant son élection, le député Chong a été dirigeant principal de l'information pour l'Association des joueurs de la Ligue nationale de hockey et consultant principal en technologie pour la « Greater Toronto Airports Authority » dans le cadre du réaménagement de l'aéroport international Pearson. Le député Chong a également cofondé l'Institut du Dominion, aujourd'hui connu sous le nom d'Historica Canada, une organisation qui s'est engagée à sensibiliser les Canadiens à l'histoire et à l'instruction civique. Il siège actuellement à son conseil d'administration.

Déclarations sur la Chine

Le 12 octobre 2020, le député Chong a directement critiqué la Chine, déclarant dans une entrevue que la COVID-19 n'est pas une excuse pour refuser l'accès consulaire à Michael Kovrig et Michael Spavor.

Le 30 septembre 2020, le député Chong a déclaré que la Chine violait les droits de la personne et les traités internationaux dans sa façon de traiter Michael Spavor, Michael Kovrig, les Ouïghours et le peuple de Hong Kong. Il a demandé si le gouvernement allait imposer des sanctions aux responsables en Chine.

Le 16 septembre 2020, le député Chong a publié un compte rendu de sa rencontre avec l'ambassadeur chinois au Canada, S.E. Cong Peiwu. Dans ce compte rendu, le député Chong a souligné la détention de Michael Kovrig et Michael Spavor, la loi sur la sécurité nationale et le changement d'attitude des Canadiens envers la Chine.

Le 10 décembre 2019, le député Chong s'est levé à la Chambre des communes pour parler de la relation que le Canada entretient avec la Chine. Il a déclaré : « […] en réponse aux préoccupations d'ordre économique exprimées par de nombreux députés à propos de nos relations avec la Chine, je dirais que les valeurs et les principes sur lesquels notre pays est fondé, comme la démocratie, les droits de la personne et la primauté du droit, sont plus importants que les préoccupations économiques. Ces principes, nous risquons de les miner si nous continuons de ne voir que les conséquences économiques qu'engendrerait une redéfinition de nos relations avec la Chine. » Il a poursuivi en expliquant comment la Chine a de plus en plus recours au chantage économique, ce qui comprend notamment des attaques contre les agriculteurs canadiens dans le domaine du porc, du boeuf et du canola. Le député Chong a également fait part de ses préoccupations concernant les Ouïghours dans les camps de concentration et la campagne systémique de Beijing visant à éradiquer cette population de manière génocidaire. Enfin, il a demandé au gouvernement d'adopter une position plus ferme, plus forte et plus claire sur Hong Kong.

PIERRE PAUL-HUS

PIERRE PAUL-HUS (PCC – CHARLESBOURG–HAUTE-SAINT-CHARLES, QUÉBEC, QUÉBEC)

PORTE-PAROLE POUR LES SERVICES PUBLICS ET L'APPROVISIONNEMENT

Intérêts clés :

  • Sécurité
  • Huawei
  • Approvisionnement

Rôles parlementaires

Le député Paul-Hus est le porte-parole du PCC pour les services publics et l'approvisionnement depuis 2019. Il a également été le porte-parole pour la sécurité publique et la protection civile en 2017. Il est membre de l'Association parlementaire canadienne de l'OTAN (CANA) et du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis (CAUS).

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

  • Membre du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), depuis octobre 2020
  • Membre du Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires (OGGO), depuis octobre 2020
  • Vice-président du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (SECU), septembre     2017 à septembre 2019, février à août 2020
  • Membre du Comité spécial sur la pandémie de la COVID-19 (COVI), d'avril à juin 2020
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (NDDN), de janvier 2016 à septembre    2017

Contexte

Le député Paul-Hus est diplômé en science politique de l'Université Laval et propriétaire de PRESTIGE Media Group. Il est officier militaire (réserve) et diplômé du Collège de commandement et d'état-major de l'Armée canadienne et de l'École militaire de Paris, où il a également enseigné. En 1987, il s'est enrôlé et a rejoint le Régiment de la Chaudière, unité de réserve des Forces armées canadiennes. Au cours de ses 22 années de service, il a mené deux missions opérationnelles : l'une au Labrador sous l'égide de l'OTAN, et la seconde à Chypre auprès des Nations Unies. Il a pris sa retraite en 2009 au grade de lieutenant-colonel. Le député Paul-Hus a également été vice-président de Sélections Mondiales des Vins Canada (le plus grand concours de vins en Amérique du Nord) pendant 11 ans.

Le député Paul-Hus a effectué un voyage à Taïwan en janvier 2018, au cours duquel il a rencontré la présidente de Taïwan, Mme Tsai Ing-Wen.

Déclarations sur la Chine

Le député Paul-Hus a présenté une motion lors de la première réunion du CACN. Cette motion demandait que le Comité étudie les questions de sécurité nationale lors de quatre ou cinq réunions, y compris la cybersécurité et la menace d'ingérence étrangère et que le comité fournisse un rapport à la Chambre. Cette motion a été adoptée. Il a également présenté une motion lors de la première réunion du Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires (OGGO) : « Que, conformément à l'article 108(2) du Règlement, le Comité entreprenne une étude sur le contrat d'équipement de sécurité offert à Nuctech; que cette étude commence au plus tard le lundi 23 novembre 2020; que le Comité exige la production de tous les documents, notes de service et éléments d'information se rapportant au contrat d'équipement de sécurité offert à Nuctech; que ces documents soient remis au Comité, dans les deux langues officielles, au plus tard le 10 décembre à 17 h (heure d'Ottawa). » Cette motion a été adoptée.

Le député Paul-Hus a fait part de ses inquiétudes concernant Huawei, déclarant que les libéraux de M. Trudeau ont ignoré les organismes de sécurité canadiens pendant des mois et ont refusé de prendre position sur la participation potentielle de Huawei au réseau 5G du Canada pour des raisons politiques purement partisanes, et que cela a mis le Canada hors jeu vis-à-vis de ses alliés du G7, tout en mettant en danger l'avenir du système de renseignement du Groupe des cinq.

En février 2020, le député Paul-Hus a commenté l'implication de la Chine dans le piratage d'Equifax en 2017, indiquant qu'il est extrêmement inquiétant que ce piratage soit prétendument réalisé par des membres de l'Armée populaire de libération (APL) de la Chine, que si cette accusation était prouvée devant les tribunaux, cela signifierait que l'APL a délibérément mené une cyberattaque parrainée par l'État contre des Canadiens afin de voler leurs informations personnelles. Il a ajouté qu'à l'ère du numérique, les Canadiens doivent avoir l'assurance que leurs informations personnelles sont en sécurité et que le gouvernement du Canada les protégera contre les agents étrangers qui se livrent au piratage, à l'espionnage ou à tout autre cybercrime pour obtenir ces informations. Il a ensuite indiqué que cela signifie qu'il faut se montrer ferme à l'égard des cybercriminels et veiller à ce qu'ils soient poursuivis avec toute la force de la loi.

Après une visite à Taïwan en 2018, le député Paul-Hus a déclaré que les relations diplomatiques entre Taïwan et les pays étrangers sont très compliquées compte tenu de son statut avec la Chine. C'est pourquoi le Canada doit intervenir davantage afin de renforcer l'amitié et les relations entre nos deux pays.

JOHN WILLIAMSON

JOHN WILLIAMSON (PCC – NOUVEAU-BRUNSWICK-SUD-OUEST, NOUVEAU-BRUNSWICK)

Intérêts clés :

  • Liberté de la presse
  • Droits de la personne
  • Démocratie

Rôles parlementaires :

Le député Williamson a été vice-président du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis (CEUS). Il a été membre de plusieurs autres associations parlementaires et groupes interparlementaires, notamment la Section canadienne de l'Association parlementaire du Commonwealth (CCOM) et l'Association législative Canada-Chine (CACN).

Présence notable, en tant que membre, aux comités suivants :

  • Membre du Comité spécial sur les relations sino-canadiennes (CACN), depuis janvier 2020
  • Membre du Comité permanent de la défense nationale (NDDN), de janvier 2014 à août 2015; d'octobre 2013 à janvier 2014
  • Membre du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (FAAE), septembre 2012-2013; janvier-septembre 2012
  • Membre du Comité permanent de la procédure et des affaires de la Chambre (PROC), septembre 2012 à janvier 2013; juin 2011 à janvier 2012

Contexte

Le député Williamson a été élu à la Chambre des communes lors des élections fédérales de 2011. Avant son élection, il a été directeur des communications au sein du Cabinet du premier ministre (CPM) de Stephen Harper de 2009 à 2011. Le député Williamson a été défait aux élections de 2015, mais a été réélu en 2019.

Le député Williamson a obtenu un baccalauréat en économie et en sciences politiques de l'Université McGill. Il a ensuite obtenu une maîtrise en histoire de l'économie de la London School of Economics. Il a travaillé pour le National Post en tant qu'éditorialiste et a été un membre fondateur de son comité de rédaction. Il a été directeur national de la Fédération canadienne des contribuables et a été leur porte-parole national de janvier 2004 à septembre 2008.

Déclarations sur la Chine

Lors des réunions du CACN, le député Williamson soulève régulièrement des préoccupations concernant la détérioration de la démocratie et de la liberté de la presse à Hong Kong depuis l'introduction de la loi sur la sécurité nationale. Le député Williamson a également demandé à des témoins s'ils pensent que Taïwan sera soumise à une loi de sécurité nationale semblable à l'avenir.

En mars 2020, le député Williamson a déposé une motion, « Que le Comité exprime sa grande préoccupation au sujet de l'arrestation de Jimmy Lai Chee-ying, de Lee Cheuk-yan et de Yeung Sum à Hong Kong, et qu'il en soit fait rapport à la Chambre. ». La motion a été adoptée, et a ensuite fait l'objet d'un rapport à la Chambre.

En 2013, le député Williamson a souligné : « Alors que nous [le Parti conservateur du Canada] travaillons à créer de meilleures politiques au Canada, le chef libéral admire la dictature chinoise. »

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