Résumé
Dans la présente étude, on se penche sur la théorie et, dans toute la mesure du possible étant donné les limitations des données, sur la réalité de la participation des Autochtones à ce que l’on peut définir comme le « crime organisé » au Canada, en proposant une définition du « crime organisé de souche autochtone » ainsi qu’une typologie des participants. Les auteurs de la présente se penchent sur les modes actuels de délits que l’on observe dans la population autochtone, en soutenant que les activités organisées ne constituent qu’un très faible pourcentage et, à de nombreux égards, une permutation unique de ces modes.