Note
"Rapport préparé pour l'hon. Tony Clement, Ministre de la Santé, Gouvernement du Canada."
"1 mars 2008."
Publié aussi en anglais sous le titre: Vancouver's INSITE service and other supervised injection sites : what has been learned from research? : final report of the Expert Advisory Committee.
Cette publication peut être reproduite, en totalité ou en partie, pour utilisation pédagogique et non-commerciale, sans autorisation dans la mesure où la source est indiquée en entier. ©Tout droits réservés. INSITE de Vancouver et autres sites d'injection supervisés : observations tirées de la recherche : rapport final du Comité consultatif d'experts sur la recherche sur les sites d'injection supervisés. Santé Canada, 2008. Reproduit avec la permission du Ministre de la santé, 2014.
Résumé
INSITE a été établi en 2003, quand une exemption a été accordée à la Vancouver Coastal Health Authority (VCH) aux termes de l'article 56 de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances. Santé Canada à versés des fonds à la VCH, qui elle ensuite a engagé le B.C. Centre for Excellence in HIV/AIDS pour l'évaluation du service. Le centre a terminé des parties de l'évaluation initiale, mais a indiqué qu'il lui faudrait une deuxième demande d'exemption et plus de temps pour terminer l'évaluation. Santé Canada a accordé l'exemption pour une période additionnelle sans toutefois accorder de crédits pour l'évaluation proposé. Ce financement a été obtenu auprès d'autres sources.
Le CCE a structuré en tableaux la recherche dont il disposait selon les questions majeures et les objectifs déclarés d'INSITE (voir l'annexe B). Chaque tableau présente des aperçus i) de la recherche publiée et non publiée sur INSITE, des données sur l'utilisation fournit par la VCH et de trois recherches supplémentaires demandées par le CCE ; ii) de la recherche sur le SIS de Sydney (Australie) ; iii) de la recherche sur des SIS établis dans d'autres pays.
La recherche analysée porte sur les objectifs officiellement déclarés par INSITE, soit i) accroître l'accès aux soins de santé et à ceux de la toxicomanie, ii) réduire les décès par surdose, iii) réduire la transmission des infections virales transmissibles par le sang et de celles liées aux injections, iv) améliorer l'ordre public.
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