L’échappatoire de l’Alaska

Date: 20 juillet 2020

Classification: non classifié

Secteur/agence : ASFC 

Réponse Suggérée :

Si l’on insiste sur le transit au Canada :

Si l’on insiste :

L'ASFC finalise une approche solide qui sera adoptée pour assurer une plus grande conformité et une application potentielle. Cette approche devrait être lancée la semaine du 20 juillet. 

Contexte :

Canada, et, bien qu’ils prétendent effectuer des déplacements à destination et en provenance de l’Alaska, ils entrent au Canada dans un but touristique et voyagent à l’intérieur du pays. Selon cette couverture, un nombre inconnu de ressortissants étrangers américains ne se dirigent pas directement vers leur destination déclarée, mais se livrent plutôt à des activités touristiques ou récréatives (par exemple, visiter des parcs ou d’autres établissements).

La Gendarmerie royale du Canada a validé un certain nombre de renvois connexes du grand public et a infligé des amendes à des ressortissants étrangers américains qui avaient indiqué à leur entrée qu’ils avaient l’intention de passer par le Canada pour se rendre en Alaska. Bien que le nombre d’incidents et d’infractions à la conformité soient faibles, il sera important de s’attaquer à ce problème de conformité, particulièrement dans le contexte de l’augmentation des cas de COVID-19 aux États-Unis.

À l’arrivée à un point d’entrée, un voyageur qui désire passer par le Canada doit justifier son intention de se rendre en Alaska. Ce n’est que dans les circonstances où l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) détermine que le voyageur effectue un passage à des fins non discrétionnaires (c’est-à-dire, se rendre au travail ou à la résidence principale) qu’il sera admis au Canada.

L’ASFC exige que ces voyageurs fournissent l’objet de leur voyage ainsi qu’une justification. Au moment d’interagir avec les voyageurs dont le passage par l’Alaska est non discrétionnaire, l’ASFC fournit le document de l’Agence de la santé publique du Canada, qui indique que le voyageur ne doit pas faire d’arrêts inutiles et qu’il doit éviter de communiquer avec d’autres personnes pendant le transport.

L’ASFC met la dernière main à une approche solide qui sera adoptée pour assurer une plus grande conformité et une application éventuelle de la loi. Cette approche devrait être lancée au cours de la semaine du 20 juillet.   

Personnes-ressources :

Approuvé par : Calvin Christiansen, Directeur général, Direction générale des voyageurs, 613-954-6990

Date de modification :