| Objectif : |
C'est au Yukon qu'on a recensé quelquesuns des plus hauts taux de violence et de suicide/meurtre. L'affaire notoire d'agression du chef de la Première nation de Liard a beaucoup attiré l'attention des médias, et c'est alors que l'initiative sur le mieux-être de Watson Lake a été lancée. Au cours de la première phase, le comité a d'abord entrepris la sélection d'une série de priorités, notamment la toxicomanie et la violence familiale, l'établissement d'interventions à l'échelle de la collectivité et l'appui de l'engagement solide des bénévoles, des organismes et des citoyens en vue de guérir la collectivité. Les premiers résultats positifs se sont manifestés par la production régulière d'un bulletin d'information sur la sécurité communautaire, la participation de nouveaux partenaires, le nombre et la portée des activités communautaires organisées et l'étendue de la sensibilisation à la violence, à la toxicomanie et aux questions relatives à la sécurité et au mieux-être communautaires. La deuxième phase mettra l'accent sur la prestation de programmes et d'activités relatives à la toxicomanie, la violence familiale et la sécurité communautaire. Les activités précises comprennent la production mensuelle d'un bulletin communautaire, des envois postaux périodiques, des campagnes d'affichage, des ateliers, des activités scolaires, des fonctions communautaires et des publicités axées sur la participation des jeunes.
Le coordonnateur du projet est un élément de réussite essentiel. Il gère la correspondance, la cueillette des données, l'élaboration de rapports, l'obligation de rendre compte en matière de projets et la conformité, ainsi que les divers bénévoles provenant des administrations locales, de la Première nation et des organismes sans but lucratif qui participent au comité.
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